Il est curieux de voir comment une photo immobile peut traduire à ce point le mouvement , la puissance de l'eau , le souffle du vent , le vol et l'odeur de l'écume
Que crains-tu de l'illusoire La fièvre éphémère La soif est légère Et va alanguie Sur le bleu grégorien D'un ciel indéfini.
Insomnie
Quand on ferme violemment la porte sur la nuit il n'y a plus à placer là le murmure la seule clef sans bruit qui force la serrure Entre l'aveu confus et le lien du mystère les mots silencieux qui tendent leur filet Dans tous les coins de cette chambre noire où ton ombre ni moi n'auront dormi.
Hegel
Rien n'est plus vrai que l'apparence en tant qu'apparence.
6 commentaires:
Magnifique,
merci
Quelle puissance émane de cette photo !
On se sent tout petit et fragile à coté
Quand la nature gronde l'orage en prose de larmes déchainées, l'homme contemple la magie du ciel .
Bonne fine de journée
Oupss fin sans e
Je vous remercie chacun/ chacune de vos impressions.
A bientôt
Il est curieux de voir comment une photo immobile peut traduire à ce point le mouvement , la puissance de l'eau , le souffle du vent , le vol et l'odeur de l'écume
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