Dans les rues d'une ville où je n'habite qu'en image, le brouillard a construit la nuit un provisoire passage qu'empruntent les fantômes avec l'air d'aller ailleurs.
Bonsoir à vous Pierdelune et Johal , j'aime beaucoup votre imaginaire à toutes les deux. Qui des fantômes ou des rêves échoués trouveront le quai ? A bientôt
Que crains-tu de l'illusoire La fièvre éphémère La soif est légère Et va alanguie Sur le bleu grégorien D'un ciel indéfini.
Insomnie
Quand on ferme violemment la porte sur la nuit il n'y a plus à placer là le murmure la seule clef sans bruit qui force la serrure Entre l'aveu confus et le lien du mystère les mots silencieux qui tendent leur filet Dans tous les coins de cette chambre noire où ton ombre ni moi n'auront dormi.
Hegel
Rien n'est plus vrai que l'apparence en tant qu'apparence.
3 commentaires:
Dans les rues d'une ville où je n'habite qu'en image, le brouillard a construit la nuit un provisoire passage qu'empruntent les fantômes avec l'air d'aller ailleurs.
fondus dans l'imaginaire des océans
quelques rêves échoués
la répétition est-elle acceptée ici ? Si oui, magnifique photo ! Si non, silence admiratif...
Bonsoir à vous Pierdelune et Johal , j'aime beaucoup votre imaginaire à toutes les deux.
Qui des fantômes ou des rêves échoués trouveront le quai ?
A bientôt
Enregistrer un commentaire